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Avis de la rédaction : émission du 07/07/2012

Un Baptiste Giabiconi qui fait feu de tout bois !

Publié le mercredi 11 juillet 2012 par Guillaume COMONT - Rédacteur en chef dans la rubrique Avis de la rédaction 2012.

        

Nous nous étions quittés l’an dernier sur une moyenne estivale s’élevant à 16,2/20, une très belle note révélant la réussite incontestable de la saison 2011 qui avait su renouer avec les fondamentaux du jeu, quelque peu oubliés en 2010. Mais cette première de la saison 2012 a-t-elle réussi à nous convaincre au moins autant que celle de 2012 ? Refaisons le match ensemble.

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Nous avions déjà eu un avant-goût de cette saison 2012 grâce à Adventure Line Productions qui avait envoyé aux sites internet le nouveau pré-générique. Pas de surprise en direct donc, mais cela ne doit pas pour autant nous empêcher de noter le très beau travail de réalisation qui a été effectué. Le pré-générique se paye le luxe d’être encore plus réussi que celui de l’année dernière, grâce à une chute bien trouvée : sous l’apparence d’un conte, le téléspectateur se laisse emporter dans un univers magique fait de halos de lumière et d’images colorées, avant que le Père Fouras ne referme violemment son grimoire tout en prononçant ces quelques mots « Eh eh eh, blablabla, et quand est-ce que vous comptez parler de moi hein ? ». Côté générique, on regrettera la profusion d’images de candidats en action, révélant un peu ce qui va se passer au cours de la saison. On préférerait nettement un générique épuré, composé d’images réelles du Fort, de ses lieux emblématiques, de ses personnages… Le générique apparaît un peu trop composite désormais, et manque d’homogénéité.

Après le générique, on entre dans le vif du sujet avec Olivier. Le prélude est similaire à celui de l’an dernier : rapide et efficace. Les candidats de l’équipe sont tous brièvement présentés ainsi que le nom de l’association. Attention toutefois à ne pas évacuer trop vite cette dernière, dont la seule réelle référence consistante se situe en fin d’émission.

La Boule sonne le gong et la partie commence. Un La Boule totalement oublié dans cet épisode, puisqu’on ne l’a vu que dix secondes dans l’émission. Ce point est à revoir. Nous avions proposé l’an dernier un retour du fameux « La Boule, le gong ! » qui dynamisait le début de la partie et mettait davantage en valeur le personnage, nous réitérons cette proposition qui ne couterait rien.

C’est parti ensuite pour une première série d’épreuves. Et c’est un retour gagnant pour feu l’Horloge de la chapelle rebaptisée pour l’occasion De la terre à la lune du fait de son décor représentant l’espace. Thomas Hugues trouve son rythme, manque une fois la clé de très peu, mais doit sortir, car le temps est écoulé. On notera que l’obus semble un peu moins lourd, ou en tout cas plus maniable que dans la première version de cette épreuve. De son côté, Inna Modja peine à évoluer sur les Cylindres et doit très vite se résigner. C’est Baptiste Giabiconi qui prend la suite dans le Percolateur, une épreuve pour les amateurs de café. On ne peut qu’applaudir le travail des décorateurs dans cette épreuve dont l’ambiance est tout simplement exceptionnelle. On applaudit aussi Baptiste qui s’en sort bien, même si l’épreuve ne semble pas en soi très difficile.

On saute ensuite du tout à tout, avec une épreuve aérienne. Petit bémol de cette saison, la différenciation entre la partie épreuves et la partie aventures est assez mince. Cela est positif dans le sens où cela permet de dynamiser les parties et d’éviter la monotonie, mais cela peut créer une petite confusion malgré tout. La partie aventures étant traditionnellement plus spectaculaire que la partie épreuves. Ceci étant dit, cette nouvelle épreuve de la Balance est tout simplement bluffante. Il s’agit probablement de l’une des plus belles épreuves extérieures depuis longtemps. Spectaculaire à souhait, angoissante et pleine de suspense, on sait que tout peut arriver avec cette épreuve. Bravo à Victoria Monfort qui a su conserver son sang-froid alors qu’elle était ballotée et a dû tenir à plusieurs mètres de hauteur pendant que Pascal Olmeta rejoignait le bord de sa planche. Retour en cellule avec Merwan Rim, qui n’ira pas bien loin dans la Salle des tortures, celui précisant qu’il glisse… On n’est pas convaincu par sa bonne volonté non plus, un grand gaillard comme lui aurait pu tenter de balancer ses jambes sur le trapèze prévu à cet effet… Thomas Hugues ne donne pas le change non plus dans la Cellule interactive où il échoue à un cheveu, en ne faisant pas confiance à son équipe qui le guidait pourtant très bien. Rien de neuf cette année du côté de la Cellule interactive, mais c’est une bonne chose, car nous notions combien il était bon d’avoir une salle simple, sans trop de fioritures. Le mini-jeu proposé était celui du parcours lumineux à reconstituer, déjà connu des téléspectateurs. Inna Modja devient ensuite la vedette de l’épreuve des Jarres. Terrorisée, elle peine à trouver son rythme, et quand elle le trouve, il est temps de sortir. L’heure commence à être légèrement grave, l’équipe n’ayant récolté qu’une seule clé.

Quoi de mieux qu’une savante énigme du Père Fouras pour retrouver un peu de dynamisme ? C’est Baptiste Giabiconi qui s’y colle. Mais attention, il ne s’agit pas d’écouter une énigme à travers un écran de la Cellule interactive cette année, mais de répondre à une énigme tout en étant harnaché dans une machine reproduisant les effets d’une expédition dans l’espace ! Difficile dans ces conditions de réussir. Et pourtant, le vaillant candidat ne craint rien et trouve la réponse à l’énigme. Décidément, il est épatant ce Baptiste ! Si bien que Thomas Hugues, non sans humour, propose qu’il fasse toutes les épreuves. En tout cas, cela fait une clé de plus. Victoria Monfort continue dans cette dynamique en affrontant la nouvelle Lady Boo, plus grand que la précédente, mais qui visiblement avait dû prendre un tranquillisant pour son premier bain de boue tant elle était molle et peu offensive face à la candidate, qui a logiquement pu attraper sans aucun souci la clé. Certains ont même soupçonné la production d’avoir donné quelques consignes… Point positif toutefois : la tenue de la Lutteuse est bien plus esthétique que celle de l’an dernier. Pascal Olmeta en chevalier servant ? Vous en rêviez ? Le Père Fouras l’a fait. C’est sans aucun problème que celui-ci est parvenu à retirer Excalibur de son billot, mais, malgré sa ténacité à toute épreuve, il n’est pas parvenu à trancher le cordage, qui, par un concours de circonstances, s’enfonçait dans une fente du tronc.

Arrivée en terrasse pour la suite des événements avec l’épreuve de la Tyrolienne inversée. C’est Baptiste Giabiconi qui sera lancé, tête en bas, dans l’eau et qui devra jeter la clé à Thomas Hugues pour que celui ouvre un coffre contenant le code permettant d’ouvrir le cadenas… Vous suivez toujours ? Malheureusement, on retrouve aussi la folie des clés, cadenas et coffres, si bien qu’à la longue, on ne sait plus ce qu’il faut ouvrir, jeter, composer… Mais c’est une réussite grâce à un très beau lancé de Baptiste Giabiconi, définitivement exceptionnel ! En soi, l’aventure n’a rien de très difficile, en tout cas, mis à part le lancé, l’épreuve est largement réalisable. Visuellement, l’effet est réussi. On passe ensuite à un registre beaucoup plus sobre et stressant avec le Topkapi qui fait un retour gagnant sous le nom de l’Alerte rouge. C’est Victoria Monfort qui joue les contorsionnistes. L’objectif est d’atteindre la clé sans toucher des lasers. Cette épreuve, même si elle diffère de la première version avec une disposition plus rectiligne des lasers, tous de couleur rouge, nous a convaincus. Très hollywoodienne, l’épreuve est très stressante et la dramaturgie bienvenue avec l’activation du clavier électronique et donc des lasers par Olivier à l’entrée de la cellule. On regrettera toutefois le fait que la marge d’erreur soit très importante par rapport à la version originale et que la parcours semble bien plus court. Si bien que Victoria Monfort, qui a touché à plusieurs reprises, a pu malgré tout finir le parcours sans réelle difficulté. La 5e clé est récupérée à cette occasion. Inna Modja est choisie ensuite pour effectuer un mini-jeu dans la Cellule interactive, qui cette année sert uniquement deux fois par émission, ce qui est une bonne chose, car les fans réclamaient de la voir un peu moins. Inna Modja devait ici toucher des araignées avant qu’elles ne disparaissent. Mission réussie… et une 6e clé en poche. La partie se conclut ensuite sur le Pied marin, mais dans une version légèrement rénovée. Il ne s’agit plus de suivre un parcours déterminé, mais bien de fouiller dans toute la cabine à la recherche de la clé… un retour à la version originale en somme, ce qui est bien mieux, car, nous allons y revenir, on est au bord de l’overdose de menottes cette saison.

Avec seulement six clés, l’équipe doit choisir un candidat pour affronter Blanche dans la Salle du Jugement. Cette dernière a un nouveau visage. Difficile de rivaliser avec Louise-Marie Hustings, pourtant la nouvelle interprète s’en sort bien. La voix est tout aussi suave que la précédente, et l’attitude à la fois angoissante et charmante. On évite l’écueil d’une Blanche trop gentille, au contraire, celle-ci est mielleuse à souhait. C’est Merwan qui s’autodésigne pour récupérer la 7e clé afin de « se refaire » comme il le dit lui-même. Pari gagné, malgré un premier essai raté, il parvient à se maintenir en équilibre sur le plateau tournant et à garder ses trois balles sur son plateau de verre. Au passage, on remarque que la présentation du défi est désormais intégrée à un grimoire, ce qui est bien plus esthétique et plus en accord avec l’esprit du Fort.

Place aux aventures désormais, enfin à une autre série d’épreuves, étant donné qu’il n’y a plus guère de différences entre les deux parties comme nous le notions.

Victoria Monfort est choisie par le Père Fouras pour se rendre dans la Chambre froide du Fort. D’emblée, on note là encore le travail d’orfèvre de l’équipe du Fort, qui nous offre une cellule faite de bacs de glace, de gants, de cirés, cagettes pour poisson… Bref, tout l’univers d’une chambre froide de bord de mer est ici reconstitué. Le principe de l’épreuve est efficace, mais entre l’épreuve de la Menotte, celle de la Menotte immergée et celle-ci, trop d’épreuves à menotte risquent de provoquer un effet d’overdose. D’autant plus quand les épreuves sont toutes proposées dans une seule et même émission. Victoria est assez rapide, mais ne comprend pas le sens dans lequel elle doit tourner la clé à la fin du parcours près de l’armoire en verre, elle manque de peu la cartouche-indice. L’aventure qui suit est celle de l’ « Égout ». Notre avis reste très mitigé sur cette épreuve : elle est visuellement décevante et son principe beaucoup trop basique. Carton rouge d’ailleurs à Merwan Rim, qui après être arrivé en bas et avoir trouvé la balle où est inscrit le code, ne parvient pas à remonter. Était-ce de la claustrophobie ? En tout cas, on s’étonne de cette difficulté, qui n’est jamais arrivée, dans ce sens, à aucun candidat – homme ou femme – l’an dernier. Une cartouche s’échappe donc à nouveau pour l’équipe. Inna Modja de son côté se fait violence et affronte sa peur panique du vide dans l’aventure de la Cloche non sans pousser quelques cris. Une belle réussite pour la jeune chanteuse, coachée par son équipe. Le héros de l’équipe, Baptiste Giabiconi, est ensuite de retour. Torse nu et en boxer, sûr de lui, pour le plaisir des dames, il plonge dans la citerne glacée du Fort et parvient sans problème au bout du parcours et à crier le code à composer à son équipe. Mais qu’est-il arrivé cette année à la production pour proposer encore un nouveau jeu avec une menotte devant suivre un tuyau ? Trop de menottes tuent les menottes ! Tout au moins, il aurait été plus judicieux de ne pas diffuser dans la même émission, et à dix minutes d’intervalle, deux aventures avec le même principe. Retour ensuite de la Cabine abandonnée. C’est Pascal Olmeta qui devra affronter blattes et mouches. Celui-ci est d’un calme olympien. S’il ne trouve pas l’énigme, les animaux ne l’effraient pas le moins du monde. Si bien que l’effet comique de cette épreuve perd un peu de sa superbe… jusqu’à la prochaine fois. Thomas Hugues termine la session des aventures avec les Serpents. Il ne se doute pas de l’endroit où il met les pieds, mais va vite le comprendre. Au départ, il ne se saisit que des petits serpents, avant d’avoir la main heureuse et de trouver très vite les deux codes sur de gros serpents. Il fait preuve d’un sang-froid impressionnant. L’équipe remporte grâce à lui une troisième et dernière cartouche-indice.

On en arrive au Conseil. Et c’est là que le bât blesse comme on dit ! D’une part, le Conseil est amputé d’un duel, de quatre duels nous passons à trois. Passons. Mais le problème notable réside dans le fait que le Conseil a complètement perdu cette année son aspect solennel, qui était, depuis la création de cette partie en 1995, une de ses plus importantes spécificités. Que dire encore des énigmes dictées en plein Conseil ? Est-ce vraiment le lieu adapté ? Quant au Père Fouras, il semble qu’à lui seul il comble l’absence d’un quatrième duel… Le problème est que le Conseil ne semble pas se prêter à de longues tirades et bavardages… Toutefois, belle surprise que ce nouveau duel de réflexe et que ces nouvelles tables de jeu, bien plus esthétiques que les précédentes, et restant bien dans l’esprit du Conseil. Seul bémol, le duel est révélé tout de suite à cause d’une salle trop exiguë et lumineuse, ce que beaucoup de fans ont noté. En somme, un réel effort de réorganisation du Conseil est souhaitable dans le futur. Quant à l’équipe, elle récupère 25 secondes grâce à Baptiste Giabiconi (encore !) et Victoria Monfort, tandis que l’énigme n’a pas parlé à Thomas Hugues. L’équipe aura donc 3 minutes 5 secondes dans la Salle du Trésor, un score correct.

L’heure du verdict approche. Pas de changement notable dans cette dernière partie du jeu, si ce n’est, un point de détail, les escaliers de la Salle du Trésor ont effectivement évolué, faisant la part belle au bois et au métal cette saison. C’est Victoria Monfort qui trouve brillamment le mot code. Tout d’abord, elle pense à Tête, avant de se raviser et de proposer Vue à son équipe après le sacrifice d’Inna Modja. Malgré deux bras en moins, l’équipe est fort bien organisée. La portée de Victoria Monfort par Pascal Olmeta rapporte gros. C’est finalement la magnifique somme de 17 860 € qui va à l’Œuvre des pupilles orphelins et fonds d’entraide des sapeurs-pompiers de France.

L’émission se clôt avec le désormais célèbre « Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort » d’Olivier accompagné des membres de l’équipe.

Aucun changement notable n’a été apporté au générique de fin, toujours aussi bref et composé de paysages charentais entourant le Fort.

Mais avant de clore notre avis, il nous faut revenir sur l’animation, les personnages, les saynètes, la diversité des jeux, les performances de l’équipe… bref, tout ce qui ajoute du piment à l’émission et lui donne son ton général.

Il apparaît cette saison que le temps de parole entre le Père Fouras et Olivier est moins équilibré. Le Père Fouras semble détenir les trois quarts du temps, alors qu’Olivier finalement est plus discret qu’à l’habitude. Cette impression vient sans doute du fait que l’on voit encore plus le Père Fouras durant le jeu. Dans cette lignée, les saynètes qu’il a partagées avec Passe-Muraille étaient toutes très bonnes : que ce soit celle où les deux compères déterminent dans quelle jarre ils vont mettre la clé, ou celle où le Père Fouras propose à Passe-Muraille de choisir entre deux parchemins, mais le choix de Passe-Muraille ne convenant pas au Vieux Sage. On a également apprécié de voir Passe-Muraille cacher la clé de l’épreuve du Pied marin dans un livre, lui-même caché sous des filets marins et dans un coffre… Le problème réside toutefois dans le fait que les saynètes ne se bornent qu’à une relation entre Passe-Muraille et le Père Fouras ou à quelques mots entre Olivier et Passe-Muraille. Même Passe-Partout semble cette année moins visible que Passe-Muraille. S’il est très agréable de voir que Passe-Muraille est bien mis en valeur, qu’en est-il de La Boule, Lady Boo, Luciole ou encore Blanche qui restent cantonnés à des tâches précises, ne circulent pas dans le Fort et ne rendent pas non plus visite au Père Fouras ? Reste à voir s’il y aura des évolutions en cours de saison. Le Père Fouras, omniprésent, semble happer le reste des personnages. Un rééquilibrage des apparitions nous semble indispensable à l’avenir.

La vigie ne nous a pas particulièrement manqué, sans doute parce qu’on commence à bien s’habituer à voir le Père Fouras dans le cœur du Fort, mais on peut tout de même regretter que le Vieux Sage ne monte pas quelques fois en vigie pour le plaisir des fans, une vigie d’ailleurs refaite à neuf l’automne dernier et qui, quoi qu’on en dise, offrait un panorama exceptionnel sur l’océan.

Nous ne revenons pas sur les décors, tous très réussis. Désormais chaque cellule arbore une porte complètement peinte et propose un univers précis. La porte de l’Alerte rouge fait partie des plus réussies avec ses deux volants ressemblant à un coffre-fort, tout comme la porte et le palier de la cellule menant à Gagarine, qui donnent l’impression d’avoir totalement quitté le Fort. Les deux épreuves les plus réussies en termes de décor sont pour moi la Chambre froide (avec sa porte bien singulière) et le Percolateur. Les portes des cellules ne dérangent pas, cela donne au contraire un aspect encore plus surprenant au Fort, on a l’impression d’être vraiment dans un monde à part à chaque fois. Certes, les puristes regretteront les portes grises d’antan qui se fondaient parfaitement au Fort et réservaient aux téléspectateurs lambda la surprise de ce qui allait arriver à l’intérieur. Sur ce point, la suppression des charades insupportables de l’an dernier comme « Pour obtenir la clé, Lady Boo il faut défier » est une des meilleures décisions prises.

Enfin, nous avons été séduits par l’équipe, surtout par Baptiste Giabiconi, qui a réussi tous ses défis, Victoria Monfort qui n’a pas démérité et Thomas Hugues qui a bien motivé ses troupes et fait preuve de beaucoup de concentration et de sang-froid, même s’il n’a pas tout réussi. En revanche, Inna Modja et Merwan Rim ont semblé un peu plus fébriles face aux défis qui leur étaient proposés. Pascal Olmeta est quant à lui resté assez discret durant le jeu.

En somme, un premier épisode réussi, mais qui révèle deux carences majeures : l’omniprésence du Père Fouras que l’on voit presque trop par rapport à Olivier et un Conseil qui a perdu sa solennité d’antan…

Il ne reste plus qu’à attendre la semaine prochaine pour découvrir la suite des nouveautés et surprises que nous réserve cette saison qui commence tout juste. À la semaine prochaine !


Photo : © France Télévisions / Gilles Scarella

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