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« L’épopée Fort Boyard » dans « L’été de 20h30 le samedi » samedi 11 juillet à 20h30 sur France 2 !

Bonus : la vidéo intégrale du reportage et 260 captures !

Publié le mercredi 15 juillet 2020 (publié antérieurement le 9 juillet 2020) par Guillaume COMONT - Rédacteur en chef dans la rubrique Vidéos et podcasts 2020.

        

Cette saison, France 2 maintient à l’antenne ses 20h30 le samedi et 20h30 le dimanche, de quoi nous ravir puisque Fort Boyard y sera à l’honneur quelques minutes avant son grand lancement le samedi 11 juillet sur France 2 pour un reportage d’une vingtaine de minutes !

 PRÉSENTATION OFFICIELLE

« L’épopée Fort Boyard »
Un reportage signé Bertrand Jeanneau et Thomas Courcelle.

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Cela fait plus de trente ans que ce jeu télévisé nous fait rêver, rire, et même parfois peur ! C’est l’une des plus vieilles émissions de télévision française après Des Chiffres et des Lettres… Une création et un concept télévisuel français, le plus vendu au monde, dans plus de trente pays !

Fort Boyard, ses épreuves, son générique, sa galerie de personnages comme le Père Fouras ou Passe-Partout… Vous rêvez d’y aller ? 20h30 le samedi vous y emmène.

Voici l’histoire d’une aventure un peu folle, née dans un vieux fort en ruine au large de la baie de Rochefort.

 RÉSUMÉ ET CAPTURES

Le résumé ci-dessous reprend les grandes lignes du reportage, en citant parfois le commentaire en voix off, tout en ajoutant aussi des données supplémentaires permettant d’étoffer le propos.

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1re partie : la découverte du Fort par les touristes dans le bateau La Marcelle

On découvre des images du Fort prises depuis La Marcelle, un vieux gréement avec à la barre, depuis 30 ans, le capitaine René qui embarque à son bord chaque année depuis 30 ans des milliers de touristes avides de découvrir le Fort « en vrai » et au « plus près », comptant même à son bord des étrangers (russes, anglais, ouzbekes...). 3 km séparent le Fort de la côte la plus proche. Le Fort est une idée de Napoléon, construit au début du XIXe siècle pour repousser les Anglais, une Forteresse longtemps imprenable avant qu’en 1989 la télévision ne la prenne d’assaut.

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2e partie : l’arrivée des équipes sur le Fort et la gestion de la navigation autour du Fort

La seule possibilité pour y pénétrer est de s’accrocher à un panier de transbordement relié lui-même à une grue, qui va soulever la nacelle à plus de sept mètres de hauteur. Tous les matins, c’est le passage obligé des équipes techniques pour débarquer sur la plateforme off-shore Banjaert qui permet l’accès au Fort.

Le trafic maritime est très surveillé. La problématique est de surveiller les bateaux. Personne ne doit, en principe, s’approcher à moins de 200 m du Fort, mais cette règle est souvent battue en brèche, car tout le monde veut voir le Fort de près.

Rares sont les élus à pouvoir y pénétrer, c’est un privilège. « Fort Boyard est un animal difficile à dompter ».

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3e partie : les contraintes du lieu pour tourner

Depuis 11 ans, Francis Côté est le réalisateur. En vrai, le Fort est plus petit que ce qu’on peut croire. Il paraît grand à l’écran grâce aux caméras grand-angles. Le Fort est pour lui « un lieu inspirant de par son histoire, de par ce qu’il représente et de par sa beauté », mais aussi du fait de son inaccessibilité au grand public. Il fait rêver tout le monde. Tous ceux qui viennent y travailler sont très heureux, mais il y a énormément de contraintes pour tourner : le lieu est en extérieur, planté au milieu de la mer, avec une météo souvent capricieuse, des marées énormes avec plus de 7m de marnage entre deux marées, un plateau à 360°, des ombres et du soleil, il y a 150 personnes... Le Fort est donc très « attirant », mais il faut pouvoir composer avec ses contraintes.

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4e partie : un plateau de tournage vivant

Une équipe tourne des saynètes de transition avec des animaux en plans serrés, que l’on verra à l’écran entre deux épreuves, c’est ce qu’on appelle les « beauty shot », une autre tourne avec un drone des courses, une autre des saynètes avec le Père Fouras et Passe-Muraille, ne autre encore dans le bar clandestin de Willy pour le jeu audiotel et une dernière qui suit Passe-Partout dans les coursives.

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5e partie : le bestiaire du Fort

La première rencontre du journaliste est celle avec l’animalier du Fort Denis Lebon, qui présente son magnifique serpent mollusque albinos jaune et blanc, que l’on retrouve souvent dans l’épreuve du Zoo.

Sur le Fort, il gère quatre alligators d’à peu près un mètre, une soixantaine de serpents, une cinquantaine de scorpions, des mygales, des blattes, des crapauds... Un véritable bestiaire.

Rencontre ensuite avec la magnifique Félindra, dresseuse des tigres, Monique Angeon à la ville. Elle explique qu’elle parle différentes langues aux tigres, précisant toutefois manier surtout l’allemand avec eux, car on dit souvent que le français est utilisé pour parler, l’italien pour chanter et l’allemand pour donner des ordres.

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6e partie : Fort Boyard et ses personnages s’exportent

Passe-Partout, le Père Fouras, Félindra... une galerie de personnages qui accompagnent les étés des téléspectateurs depuis 30 ans maintenant, en France et dans le monde entier.

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6e partie : l’origine de l’émission racontée par Patrice Laffont

C’est l’histoire d’un coup de génie et surtout d’un coup de... folie ! C’est Jacques Antoine (Tournez manège, La Chasse aux Trésors) qui en a eu l’idée première.

Patrice Laffont, premier présentateur du jeu (1990-1999), nous replonge dans le processus de création du jeu. Jacques Antoine lui aurait dit qu’il allait inventer un jeu en fonction d’un décor, ce qui est en général l’inverse en production. Et Marie-France Brière, directrice des divertissements d’Antenne 2 en 1990 et Jacques Antoine ont choisi Patrice Laffont pour animer la première saison du jeu avec Marie Talon puis Sophie Davant pour la deuxième partie de la saison. En voyant le Fort en pleins travaux et avec une couche énorme de guano sur la terrasse, sans oublier l’accès à l’édifice par la mer, Patrice Laffont s’est demandé si cela tiendrait la route, ce qui a finalement été le cas grâce au génie créateur de Jacques Antoine.

Patrice Laffont a su créer un personnage d’animateur-acteur, acteur qu’il était par ailleurs avant de devenir animateur. Petit à petit, il est devenu très cassant dans son jeu avec les candidats. Beaucoup de gens autour de lui ne croyaient pas à ce projet qui paraissait fou. Pourtant Patrice Laffont pensait qu’une émission originale allait forcément attiser la curiosité des téléspectateurs.

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7e partie : des anonymes aux célébrités

Le 7 juillet 1990 à 20h44 sur Antenne 2, la première émission, autrefois baptisée Les clés de Fort Boyard, est diffusée avec une équipe de six candidats « lambda », des candidats anonymes que Patrice Laffont appréciait, car ils se battaient « comme des lions » et n’avaient pas peur d’écorner leur image. Ils empochaient eux-mêmes l’argent. Même si Patrice Laffont trouve très bien l’idée de jouer pour des associations aujourd’hui.

Dès 1994, les célébrités remplacent définitivement les anonymes. Patrice Laffont se remémore l’un des souvenirs les plus forts de sa carrière sur le Fort : Gilbert Montagné dans l’aventure du Scaphandre, où le chanteur n’entendait plus rien, ce qui le coupait totalement de la réalité et l’a mis en difficulté, il a même cru mourir.

Depuis 30 ans, Fort Boyard repousse les limites des invités.

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9e partie : l’arrivée de Willy Rovelli, un cuistot fou, en 2013

En 2013, Willy Rovelli intègre l’équipe pour incarner un cuistot déjanté qui va cuisiner les candidats en leur faisant manger, et aujourd’hui absorber des mets peu ragoûtants. Pour lui, Fort Boyard est une vraie famille, certains y travaillent même depuis 30 ans... Willy s’est dit très flatté d’avoir été choisi pour intégrer le jeu, un « cadeau de Noël géant ». Pour cette saison 2020, il passe de cuistot sadique à barman diabolique en faisant boire aux candidats des cocktails immondes de sa composition.

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9e partie : innover pour durer

Cette saison, le réalisateur Francis Côté a trouvé une nouvelle perle rare : un pilote de drone hors catégorie. Même si l’ergonomie du Fort ne permet pas de se cacher et en même temps de recevoir le drone, l’équipe a plus d’une corde à son arc et cherche un emplacement idéal pour arriver à capter et recevoir les images en toute sécurité.

Grâce à ce drone et son pilote, cette année les téléspectateurs vont découvrir des vues exceptionnelles du Fort tournées à plus de 130 km/h en moins de deux secondes, une prouesse technique et une vraie « signature » visuelle pour Francis Côté, lui-même impressionné.

C’est aussi grâce à cela que le Fort rayonne dans le monde entier et que toute personne de 7 à 77 ans, quand on lui parle de Fort Boyard, ressent des « vibrations et un vrai intérêt » selon lui. Le Fort fait rêver tout le monde et c’est une chance que d’y travailler pour lui.

Le reportage se termine par une belle conclusion en voix off : "Avoir le goût du risque, écouter la folie qui sommeille en vous, et si c’était cela le secret de la longévité... En tout cas, à Fort Boyard, ils en sont persuadés.

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 REPLAY

 REMERCIEMENTS

Bertrand Jeanneau
Laura Lequertier
Medhi Mellouk - ALP production
Thomas Courcelle
Élodie Lorne
Kléber Fleury
Remerciement : ALP Production
La Marcelle Croisières

© France Télévisions Studio

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 AUDIENCES

Le reportage « L’épopée Fort Boyard » a été vu par 3 870 000 de téléspectateurs soit 22,7 % du public le samedi 11 juillet à 20h30 sur France 2.


Source : Communiqué France 2 du 9 juillet 2020

Visuel : © France Télévisions / Adventure Line Productions
Captures : www.fortboyard.net

Vidéo : © 2020 - France Télévisions Studio
Capture de l’extrait : www.fortboyard.net

Audiences : © 2020 - Médiamat / Médiamétrie – 4 ans et +

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