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SAISON 1992 : Sumo, le gong !

Et les candidats durent se libérer à l’aide des rats...

Publié le dimanche 24 juillet 2011 par Guillaume COMONT - Rédacteur en chef, Kévin TOLBIAC dans la rubrique Règles du jeu depuis 1990.

        

Cette saison 1992 voit arriver une nouvelle animatrice, Valérie Pascale, candidate quelques mois plus tôt sur le Fort. Mais elle n’est pas la seule à poser ses valises : Ratman, le maître des animaux, Sumo, le geôlier-sonneur de gong et le Professeur désagrégé marquent aussi le Fort de leurs empreintes. Comme en 1991, la saison est à la fois estivale et hivernale avec des émissions nocturnes.

1992. Le traité START II est signé entre les États-Unis et la Russie naissante. Douze pays européens signent le traité de Maastricht. Exit la CEE et bonjour à l’Union européenne ; un changement dans la continuité. Un changement dans la continuité, c’est également le cas de Fort Boyard cette année. Changement d’animatrice, nouveaux personnages, nouvelles épreuves, nouvelles aventures mais le jeu reste le vendredi soir, dans sa formule à succès de l’année précédente pour une saison estivale puis hivernale (cette fois-ci raccourcie).

Les règles du jeu

L’émission est, pour cette nouvelle saison, diffusée le lundi et sponsorisée par les produits Petits Musclés (Danone).

Cette année, pas de changement majeure au niveau des règles : les candidats subissent épreuves et aventures, dans le but de récolter clés et indices, avant de pouvoir entrer dans la Salle du Trésor et déverrouiller le coffre au million de boyards.

Nouveautés du cru 1992 : le chronomètre général augmente de 5 minutes et les candidats prisonniers doivent se soumettre à un jeu de hasard, dirigé par Monsieur Ratman, pour pouvoir être libres.

- Les épreuves (quête des 7 clés) – chrono de 70 minutes

Le but ultime des candidats est d’accéder à la Salle du trésor et de s’emparer d’un butin généreux. Cependant, pour y entrer, les candidats doivent en déverrouiller la porte, celle-ci présentant 7 serrures. 7 clés sont donc nécessaires pour l’aboutissement de cette aventure, aucun autre chemin ne menant à ce lieu sacré.

Pour pouvoir récolter ces clés, les six candidats devront affronter des épreuves intellectuelles, physiques, de force, de logique, d’endurance et d’agilité...

Le coup de gong, marquant le début de l’aventure de 70 minutes est donné par Sumo, nouvel arrivant sur Boyard, après une rapide présentation des candidats dans un recoin du Fort. Le candidat nommé « intellectuel » doit alors se rendre dans la vigie et répondre à une énigme du Père Fouras et donner à l’équipe le « plan du Fort » indiquant le parcours qu’ils devront suivre.

Pour cette première épreuve, comme pour les autres fois où l’intellectuel sera sollicité pour répondre à un problème de logique concocté par le vieux sage, si le candidat répond juste avant la fin du sablier, l’équipe remporte la clé. Dans le cas contraire, le Père Fouras jette la clé à la mer et un candidat, le « plongeur », devra sauter et nager dans l’Atlantique pour la récupérer et rejoindre ses coéquipiers après être remonté dans la forteresse grâce à un grand filet à escalader.

Pour le reste de l’équipe, chaque épreuve est également chronométrée par une clepsydre ; si des candidats non vigilants ne ressortent pas à temps des cellules, ils sont enfermés sur place puis emmené en prison par Sumo, et l’équipe doit continuer l’aventure avec un effectif amoindris. Le candidat pourra être libéré à la fin de cette partie.

  • L’oubliette (moins de 7 clés récoltées) :

Après une quinzaine d’épreuves et arrivé à moins de 20 minutes du chronomètre général, si les 7 clés n’ont pas encore été récoltées, l’équipe devra sacrifier un candidat pour récupérer les clés manquantes en allant aux oubliettes. Celui-ci restera alors enfermer jusqu’à la fin de l’émission.

Les oubliettes du Fort se situent au carrelet, non loin de la plateforme d’où se jettent les candidats pour récupérer la clé à la mer. L’ouverture de l’oubliette étant très étroite, c’est généralement une femme que l’on y envoie. Ce sont les hommes de l’équipe qui ouvre l’oubliette qui est fermée par une grosse pierre. Pour ce faire, ils utilisent une barre de fer accrochée de part et d’autre de la pierre. Une fois que le candidat sacrifié est passé dans l’oubliette et a donné la ou les clés manquantes à son équipe, les hommes referment l’oubliette.

- Ratman (la libération des prisonniers) (nouveauté 1992) – reste du chrono

Pour libérer les candidats faits prisonniers durant les épreuves, l’équipe se rend à la prison, au rez-de-chaussée du Fort, après l’ouverture des portes par Sumo (nouveauté 1992). Là, le personnage de Ratman gère un nouveau jeu de hasard scellant irrémédiablement le sort de chaque prisonnier (nouveauté 1992) : un rat est placé dans un petit labyrinthe de bois et la sortie qu’il prendra indiquera la suite de l’aventure. L’animateur demande alors au candidat prisonnier de choisir la couleur du rat (noir ou blanc) et la couleur de la sortie (rouge ou noire). Si le rat prend la sortie dont la couleur a été choisie par le candidat, celui-ci est libérer. Dans le cas contraire, il reste en prison jusqu’à la fin de l’émission.

- Les aventures (la quête des indices) – reste du chrono

Une fois la grille déverrouillée, un nouveau défi de taille est à relever : pour ouvrir la Fontaine à boyards contenant plus d’un million de pièces d’or, l’équipe doit venir à bout d’une série d’épreuves, dans le reste du temps imparti, avec au programme des jeux aériens, nautiques, éprouvants, inquiétants ou uniques, les confronter à leurs peurs ou phobies, à divers animaux peuplant le vieux Fort, dans un temps limité pour rapporter une cartouche-indice.

Les énigmes du Père Fouras sont également présentent dans cette deuxième partie de l’aventure. Les différentes définitions de l’énigme permettent à l’intellectuel, en les recoupant, de trouver un nouvel indice.

Chaque cartouche renferme un indice qui, mis bout à bout avec d’autres, leur permettra d’en déduire le mot code du jour pour l’ultime partie du jeu. Chaque cartouche est ouverte après chaque aventure réussie, ce qui permet aux candidats de réfléchir au mot code tout en continuant leur progression, et de juger s’il est préférable de continuer d’amasser des indices ou d’aller directement à la Salle du Trésor.

- La Salle du Trésor (la récolte du trésor) – 3 minutes

Vers la fin du chronomètre général, ou si elle l’a décidée, l’équipe se rend devant la Salle du Trésor. Si un doute subsiste sur le mot code, des candidats peuvent se sacrifier ; ils plongent alors leur main dans une tête de tigre métallique afin d’en récupérer un indice supplémentaire mais ils resteront alors enchaîner à cette tête et ne pourront entrer dans la Salle.

Les candidats sonnent alors la cloche pour faire sortir les tigres puis rentre dans la Salle du trésor une fois que la grille s’ouvre. Il ne leur reste plus qu’à écrire le mot code qu’ils pensent être le bon en se positionnant sur les lettres d’un grand alphabet géant ou en y positionnant des boulets.

Félindra tourne alors une tête de tigre, sur ordre de l’animateur, pour enclencher le mécanisme ; si le mot-code est correct, une pluie de boyards se déverse dans la Fontaine et les candidats doivent effectuer le maximum d’aller-retour pour amasser le plus d’argent. Si le mot code inscrit est faux, ils doivent ressortir par la grille.

La pesée sur le proscenium permet enfin aux valeureux aventuriers de savoir combien ils ont gagné. Si l’équipe a échoué, elle repart avec 5 000 francs (soit environ 720 €).

L’animatrice raccompagnant l’équipe au bateau, l’émission se conclut par la « pensée du jour » que le Père Fouras délivre au Maître du Fort dans sa vigie ainsi qu’aux téléspectateurs.

La saison hivernale

Comme pour l’année précédente, Fort Boyard s’offre une nouvelle saison d’hiver, qui prend le relai sur les émissions d’été début octobre. Au programme, six nouveaux numéros, dont quatre émissions nocturnes. Comme pour les émissions de septembre, de nombreuses versions hivernales sont diffusées le lundi au lieu du vendredi.

Comme en 1991, le Fort, ses habitants et ses pièges deviennent dès lors plus mystérieux, et le visuel de certaines séquences de l’émission (course d’un point à l’autre, etc.) magiques. La nuit met en avant également une nouvelle façon de présenter les épreuves ou aventures ; par exemple, dans la Clé à la mer, le candidat doit souvent plonger dans une mer déchaînée et noire, renforçant le sentiment que la forteresse est isolée du reste du monde. Enfin, clou du spectacle, dans une Salle du trésor illuminée de mille feux, les candidats s’emparent dans la nuit du trésor boyardesque.

Les deux dernières émissions sont, étonnamment, diurnes, et qui plus est, diffusées l’après-midi de deux jours de fête : la Noël 1992 et le Jour de l’An 1993. A partir de ce jour, et pour plusieurs années, les émissions ne se feront plus que de jour…

Les animateurs

L’animateur et l’animatrice gardent leur rôle respectif de la précédente année : Maître du fort et coach de l’équipe. Cependant, si Patrice Laffont reste aux commandes, le Fort accueille une nouvelle animatrice ; Sophie Davant (1990-1991) s’envolant pour d’autres cieux avec la Piste de Xapatan, autre jeu sorti de l’imaginaire du fondateur de Fort Boyard, c’est Valérie Pascale qui lui succède.

Patrice Laffont : Fort de son passé de comédien, Patrice Laffont aborde la présentation du jeu à mi chemin entre l’animation et le jeu d’acteur : il reprend le rôle du Maître du Fort. Changement de vêtements avec cette année un costume noir et une chemise blanche, et une légère barbe de trois jours en prime. Complice des personnages du Fort dont il a autorité sur eux, le Maître du fort règne sans partage sur le vieux Boyard. C’est pourquoi il voit d’un mauvais œil l’arrivée de candidats dans la forteresse venu le dérober, mais il accepte volontiers de les défier et reste impitoyable envers eux pour qu’ils soient dignes de remporter le trésor du Fort.

Durant le reste du jeu, Patrice Laffont s’entretient en aparté avec les téléspectateurs pour les tenir au courant des pièges à venir ou des histoires liées au Fort ou à ses personnages. En fin d’émission, il quitte l’équipe pour rejoindre le Père Fouras en vigie et ainsi venir écouter la « pensée du jour ».

Valérie Pascale : Elue Miss France en 1987, Valérie Pascale est à la présentation de plusieurs émissions d’Antenne 2 depuis peu… C’est d’ailleurs à ce titre qu’elle a débarqué plus tôt dans l’année (la dernière de 1991 étant diffusée le 3 janvier 1992) dans la spéciale animateurs de la chaîne et a sauté à l’élastique dans la cour intérieure. Assez réservée en début de saison, elle parvient néanmoins à s’affirmer dans le rôle d’aide aux candidats au fil des émissions.

Les personnages

Cette année, la forteresse loge douze pensionnaires dont deux nouveaux : un sonneur officiel du gong et un professeur dont la lucidité laisse à désirer. Passage en revus des personnages de ce Fort Boyard version 1992 :

  • Le Père Fouras (depuis 1990) : centenaire gardien de Fort Boyard, siégeant principalement dans sa vigie. Il délivre une énigme à l’intellectuel de l’équipe, ce qui permettra aux aventuriers d’un jour de gagner soit le plan du fort, soit une clé, soit un indice, si l’objet ne tombe pas à la mer en cas de mauvaise réponse. Il est joué par Yann Le Gac.
  • Passe-Partout (depuis 1990) : Désormais, il n’accompagne que les candidats dans les dédales du Fort, ouvre et ferme chaque porte de cellule et collecte les clés ou indices remportés par l’équipe. Il est joué par André Bouchet.
  • Passe-Temps (depuis 1990) : accompagne l’intellectuel en vigie et chronomètre le temps pour chaque énigme. Il accompagne également l’équipe, d’épreuve en épreuve. Il est joué par Alain Prévost.
  • L’Homme Fort/Le Lutteur, aussi appelé « Bras d’acier » (depuis 1990) : affronte les candidats masculins dans des épreuves comme le Bras de fer, la Poutre ou le Tirer de corde. Il est joué par Christian Bories.
  • La Lutteuse, aussi appelée « Pénéloppe Gadoue » (depuis 1990) : affronte les candidates féminines dans l’épreuve de la Lutte dans la boue et de la Poutre. Elle est jouée par Françoise Ringeval.
  • Le Magicien/Manipulateur, aussi appelé « Mr Reflex » ou le « Corsaire » (depuis 1990) : joue avec la concentration des candidats dans l’épreuve du Bonneteau et du Voleur de clé. Il est joué par Gilles Arthur.
  • Félindra (depuis 1991) : s’occupe des tigres siégeant dans la Salle du trésor. Cette saison, à chaque fin de l’émission, elle tourne la tête de tigre pour délivrer le trésor sur ordre du Maîre du Fort. Elle est jouée par Monique Angeon.
  • Le Vendeur d’indices (depuis 1991) : dans l’aventure du même nom, il remet au candidat l’indice en échange de divers services. Il est joué par Jean-Claude Lachèvre.
  • Ariane (depuis 1991) : aide le candidat à venir vers elle grâce à un fil dans l’aventure du Labyrinthe obscur ; une fois le candidat arrivé, celui-ci doit lire sur son corps nu et parmi des peintures l’indice. Elle est jouée par Karine Lajugie.
  • Le Professeur désagrégé/fou (nouveau personnage) : soumet les candidats à un ou plusieurs calculs mentaux dans l’épreuve des Calculs à la suite. Il est joué par Jean-Claude Lachèvre également.
  • Ratman (nouveau personnage) : permet la libération des candidats grâce à un jeu de hasard avec un rat. Il est joué par Guy Demazure, animalier de l’émission.
  • Sumo (nouveau personnage) : sonneur du gong de Boyard et gardien des prisons du Fort. Il attache également une candidate à un poteau dans l’épreuve de la Cagoule. Il est joué par Raymond Khamvene.

Les nouvelles épreuves

En cette saison 1992, sept nouvelles épreuves s’ajoutent à celles déjà jouées dans les saisons précédentes ; trois anciennes épreuves disparaissent (l’Arbre à clé, les Ballons et le Filet africain/Piège). Voici ces nouveautés.

  • L’Antre-filet : La clé se situe dans une boîte, à l’intérieur d’un filet, lui-même à l’intérieur d’un autre filet, et le tout se situant dans un grand filet. Pour aller jusqu’à l’objet, le candidat doit trouver les ouvertures de chaque filet (la première étant la seule indiquée par du rouge) et se frayer un chemin. Une fois la clé obtenue, il doit faire le chemin inverse sous peine d’être prisonnier.
  • Le Baril de poudre : Autrefois antre des canons surveillant une éventuelle attaque ennemie, le Fort renferme une poudrière. Dans cette épreuve, le candidat doit monter sur une caisse pour arriver à la hauteur d’un casse-tête dont la clé est prisonnière. Résoudre le casse-tête est donc le but du candidat mais il ne doit pas se laisser déconcentrer par de multiples explosions dues à une traînée de poudre enflammée allant jusqu’à sa caisse ; par ailleurs, s’il n’a pas fini à temps, la flamme en arrivant jusqu’à celle-ci la fait exploser, l’obligeant à sortir.
  • Les Boulets sur la planche : Concentration et patience sont de mise dans cette épreuve où le candidat, derrière une grille, doit faire progresser un ou plusieurs boulets le long d’une planche pour atteindre la clé et la faire revenir. Il peut, et doit, manipuler et orienter cette planche afin que le boulet évite les pieux plantés dans celle-ci et évite par ailleurs de tomber.
  • La Cagoule : L’animateur ayant mis une cagoule sur la tête de la candidate, Sumo l’attache avec une corde à un poteau, les bras en arrière. Une fois la cagoule retirée, elle doit soulever ce poteau et le retirer de son socle puis utiliser un couteau pour se délier les mains. Il ne lui reste plus, ensuite, qu’à prendre la clé.
  • Le Calcul à la suite : Si le Père-Fouras jouait déjà avec les méninges des candidats, le Professeur désagrégé en fait de même dans cette cellule où le candidat doit répondre à un calcul fait d’addition, soustraction, multiplication ou division. La clé ouvrant une serrure de la Salle du trésor étant dans un coffre, le candidat dispose devant-lui de six clés représentant six réponses à ce calcul pour la libérer. Il doit donc donner la clé correspondant à la réponse qu’il pense être juste au Professeur. Si la réponse est bonne, il récupère la clé. Si la réponse est erronée, la clé descend d’un étage et le candidat doit répondre à un autre calcul avec les réponses restantes. Après trois calculs erronés, la clé est perdue.
  • La Cellule qui rétrécit : Claustrophobe s’abstenir ! La clé se trouve dans un coffre fermé par trois serrures. Pour pouvoir l’ouvrir, le candidat doit décrocher les clés accrochées à un plafond qui ne fait que descendre et les tester dans chaque serrure. Mais plus il tarde, plus le plafond se rapproche irrémédiablement de lui, ce qui ne peut que le distraire de son but.
  • Le Tirer de corde : La clé se trouve sur une corde passant dans une poulie. Le candidat doit affronter l’Homme fort dans cette épreuve ; de part et d’autre de la cellule, chacun tire sur la corde : l’un pour récupérer la clé, l’autre pour le faire échouer.

Les aventures

Cette année, six nouvelles aventures sont créées, et aucune ancienne ne disparaît. Passage en revue de ces nouveautés.

  • Les Barge et filet : Après avoir été emmené sur une barge par un zodiac, à quelques encablures de Fort Boyard, le candidat doit tirer sur un long filet du fond de la mer rempli de pierre. Au bout de celui-ci se trouve la cartouche-indice ; il ne pourra donc la récupérer qu’après l’avoir entièrement remonté.
  • Les Bouées : Aventure éphémère de cette saison et du jeu. La candidate doit regagner à la nage un ensemble de bouées noires, au large de la forteresse. Une fois arrivée, elle doit progresser de bouée en bouée et parvenir jusqu’à la cartouche.
  • Le Fondeur de lettres/Vulcain (uniquement en nocturne) : Le but de cette aventure n’est pas de gagner un indice mais découvrir l’une des lettres composant le mot-code ! Dans une cage sur la terrasse du Fort, équipé de gants, les cheveux mouillés et derrière un bouclier, le candidat doit récupérer du plomb liquide dans un chaudron mis sur le feu à l’aide d’une louche qu’il passe au travers de la grille. Il doit par la suite remplir un moule avec ce plomb, puis le briser pour découvrir la lettre du mot final.
  • L’Homme volant/Vol d’Icare : Tel Icare dans la mythologie grecque, le candidat attaché, en position allongée, à une sorte de machine volante suspendue à un filin, doit « voler » jusqu’à l’indice. Pour parcourir toute la longueur de la cour intérieure, il doit battre des ailes avec ses bras tout en pédalant, en coordination, avec ses pieds.
  • Les Lettres déformables (uniquement en nocturne) : Une barre métallique se retrouve suspendue en hauteur à quelques mètres au dessus de la cour et présente divers fils de fer intelligents. La chaleur permettra aux fils de fer de retrouver leur forme initiale et ainsi former des lettres, et donc un indice pour le mot-code. Pour le découvrir, les candidats doivent former une pyramide humaine et le candidat se trouvant au sommet doit chauffer les fils de fer grâce à une torche. Cependant, cette barre étant maintenue en suspension par deux cordes tenue par Sumo et l’Homme fort, ces derniers n’hésiteront pas à la relever à la fin du temps imparti, la rendant inaccessible aux candidats.
  • Le Pont de singe : Partant des musoirs nord (arcades) du second étage, le candidat doit progresser le long d’un pont de singe, au dessus des tigres, et récupérer une clé à l’autre bout. Cette clé ouvrant la boîte dans laquelle se trouve la cartouche, en début de parcours, il doit faire rapidement chemin inverse pour récupérer l’indice.

Les équipes de la saison estivale (juillet-septembre 1992)

Émission n°1 du vendredi 10 juillet 1992 (« Les Lescar Circus ») :

  • Laurent Chodernic
  • Maryse File
  • Nathalie Gaudefroy
  • Olivier Grosclaude
  • Thierry Leray
  • Jean-Luc Simori
  • Gain : 39 030 Francs (soit environ 5 950 euros)

Émission n°2 du vendredi 17 juillet 1992 (« Les Rapetous ») :

  • Valérie Andrieu
  • Nicole Bassade
  • Bernard Digon
  • François Lecamus
  • Daniel Libérale
  • Christian Taillez
  • Gain : 98 580 Francs (soit environ 15 025 euros)

Émission n°3 du vendredi 24 juillet 1992 (« Les Korrigans ») :

  • Didier Coatmelec
  • Alain Donias
  • Marie-Noëlle Faulon
  • Marc Guillas
  • Patricia Miquelin
  • Aubert Treguilly
  • Gain : 5 000 Francs (soit environ 720 euros) – Perdu -

Émission n°4 du vendredi 31 juillet 1992 (« Les Amoks ») :

  • Gilles Depardieu
  • Antoine Paillot
  • Béatrice Paillot
  • Philippe Roy
  • Éléonore Sichel-Dulong
  • Xavier Sichel-Dulong
  • Gain : 82 840 Francs (soit environ 12 625 euros)

Émission n°5 du vendredi 7 août 1992 (« Les Samouraïs ») :

  • Cathy Calvet
  • Jean-Paul Coche
  • Jean-Louis Grech
  • Richard Melillo
  • Ariane Pouget
  • Bernard Tchoullouyan
  • Gain : 75 850 Francs (soit environ 11 560 euros)

Émission n°6 du vendredi 14 août 1992 (« Les Emporte-pièces ») :

  • Cécile Barraux
  • Michel Fabre
  • Laurent Frossard
  • Christine Horq
  • David Joulin
  • Frédéric Rambaut
  • Gain : 134 760 Francs (soit environ 20 540 euros)

Émission n°7 du vendredi 21 août 1992 (« Les Joyeux lurons ») :

  • Laura Averseng
  • Jean-Philippe Duffaud
  • Jean-Christophe Escande
  • Catherine Honvault
  • François Lamotte
  • Philippe Montosi
  • Gain : 5 000 Francs (soit environ 720 euros) – Perdu -

Émission n°8 du vendredi 28 août 1992 (« Les Matadors ») :

  • Éric Bernardin
  • Karine Dardenne
  • Djilloul Freifer
  • Christine Richier
  • Francis Strempel
  • Éric Walner
  • Gain : 77 920 Francs (soit environ 118 875 euros)

Émission n°9 du vendredi 4 septembre 1992 (« Les Space Bobies ») :

  • Michel Calmo
  • Gilles Caussade
  • Marie-Lorraine Hoppenot
  • Frédéric Jannin
  • Bernard Saisse
  • Nathalie Soubestre
  • Gain : 5 000 Francs (soit environ 720 euros) – Perdu -

Émission n°10 du lundi 14 septembre 1992 (Spéciale sportifs) :

  • Christelle Ballestrero, skieuse nautique
  • Fabrice Bénichou, boxeur
  • Muriel Hermine, nageuse
  • Cyril Neveu, motard
  • Philippe Sella, joueur de rugby
  • Thierry Vigneron, spécialisé dans le saut à la perche
  • Association défendue : « Aides pour le SIDA »
  • Gain : 110 160 Francs (soit environ 16 790 euros)

Émission n°11 du lundi 28 septembre 1992 (« Les Harambee ») :

  • Thierry Bardoux
  • Béatrice Burie
  • Nicolas Fernandez
  • Stéphane Labussière
  • Philippe Rossignol
  • Valérie Tison
  • Gain : 111 660 Francs (soit environ 17 020 euros)

Les équipes de la saison hivernale (octobre 1992-janvier 1993)

Émission n°12 du lundi 5 octobre 1992 (« Les Ploufs ») (nocturne) :

  • Myriam Amoros
  • Cathy Bassinet
  • Françoise Coineau
  • Marc Moussu
  • Karine Paris
  • Gérard Puel
  • Gain : 56 130 Francs (soit environ 8 555 euros)

Émission n°13 du lundi 12 octobre 1992 (« Les Tout-en-or », spéciale médaillés des J.O.) (nocturne) :

  • Franck David, champion olympique de planche à voile
  • Catherine Fleury, championne olympique de judo
  • Jean-Philippe Gatien, vice-champion olympique de tennis de table
  • Marie-José Pérec, championne olympique du 400 mètres (athlétisme)
  • Catherine Plewinski, nageuse et médaille de bronze du 100 mètres papillon
  • Éric Srecki, champion olympique d’escrime (individuel)
  • Association défendue : « Pour la Somalie »
  • Gain : 122 500 Francs (soit environ 18 670 euros)

Émission n°14 du lundi 19 octobre 1992 (« Les Ninjas nazaréens ») (nocturne) :

  • Michel Charron
  • Katia Chevalier
  • Marie-Françoise Guilbaud
  • Alain Mace
  • Muriel Rasik
  • Xavier Tatibouet
  • Gain : 5 000 Francs (soit environ 720 euros) – Perdu -

Émission n°15 du lundi 26 octobre 1992 (« Les Gladiateurs ») (nocturne) :

  • Laurent Lemedioni
  • Anne Michel
  • Claire Michel
  • Jean-Paul Michel
  • Frédérique Testa
  • Olivier Touzay
  • Gain : 35 010 Francs (soit environ 5 335 euros)

Émission n°16 du vendredi 25 décembre 1992 (« Les Lionceaux ») :

  • Nathalie Fournier
  • Marcel Lamasse
  • Frédérique Laurent
  • Manuel Martinez
  • Alain Milliot
  • Philippe Mounard
  • Gain : 130 220 Francs (soit environ 19 845 euros)

Émission n°17 du vendredi 1er janvier 1993 (« Les Pubeurs ») :

  • Marie-Paule Lopez-Piro
  • Nathalie Luchier
  • Pierre Maesen
  • Laurent Negrier
  • Robert Pichery
  • Franck Tapio
  • Gain : 44 230 Francs (soit environ 6 740 euros)

DANS LA PRESSE EN 1992

Pour lire des articles de presse de la saison 1992, cliquez ici !

Au fil des saisons

Saison précédente : 1991 et la nouvelle Salle du Trésor

Saison suivante : 1993 et les premiers pas du duo Laffont-Dominguez

Ensemble des rétrospectives : Cliquez ici !


Photos : © France 2 / Gilles Schrempp / DR.

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